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L’UE s’inquiète du rapprochement de Tunis avec Pékin, Moscou et Téhéran »
Sophie Durand, attachée de presse au Conseil des affaires étrangères de l’UE, ne s’attendait pas à une telle journée ce lundi 24 juin. « J’étais prête à communiquer sur les droits de l’homme en Tunisie », confie-t-elle. « Mais en entrant dans la salle, j’ai tout de suite senti que quelque chose avait changé. » En effet, une préoccupation majeure avait émergé : l’inquiétude grandissante de l’UE face au rapprochement de la Tunisie avec Pékin, Moscou et Téhéran. « C’était palpable, » ajoute Sophie, « cette tension dans l’air alors que nous réalisions l’ampleur des enjeux géopolitiques qui se dessinaient. »

Sophie Durand, attachée de presse au Conseil des affaires étrangères de l’UE, ne s’attendait pas à une telle journée ce lundi 24 juin. « J’étais prête à communiquer sur les droits de l’homme en Tunisie », confie-t-elle. « Mais en entrant dans la salle, j’ai tout de suite senti que quelque chose avait changé. » En effet, une préoccupation majeure avait émergé : l’inquiétude grandissante de l’UE face au rapprochement de la Tunisie avec Pékin, Moscou et Téhéran. « C’était palpable, » ajoute Sophie, « cette tension dans l’air alors que nous réalisions l’ampleur des enjeux géopolitiques qui se dessinaient. »
Pierre Lefebvre, diplomate français, se remémore l’atmosphère de la réunion : « C’était comme si on avait changé le script à la dernière minute. On sentait que quelque chose de plus grand se jouait. » Il se souvient encore de l’expression soucieuse de Josep Borrell, le chef de la diplomatie européenne, lorsqu’il a abordé cette nouvelle dynamique régionale.
Carla Schmidt, assistante de Josep Borrell, explique le contexte : « M. Borrell avait inscrit la Tunisie à l’ordre du jour quelques jours plus tôt, suite à l’interpellation du cabinet d’avocat de William Bourdon sur les violations des droits humains. Mais les récents développements ont complètement changé la donne. »
Maria Gonzalez, militante des droits de l’homme basée à Bruxelles, ne cache pas sa frustration. « Bien sûr, on ne peut pas ignorer ce qui se passe en Tunisie », dit-elle en soupirant. « Mais je comprends que l’UE ait d’autres préoccupations géopolitiques. C’est juste… difficile à accepter quand on voit les souffrances sur le terrain. »
De son côté, François Dubois, analyste politique français, tente d’expliquer la situation avec une touche d’humour : « C’est comme si notre voisin du sud flirtait soudainement avec nos rivaux. On ne sait pas trop comment réagir. »
À Paris, Ahmed Ben Ali, étudiant tunisien, observe les événements avec un mélange d’espoir et d’inquiétude. « Notre pays cherche sa place dans un monde en mutation », explique-t-il, les yeux brillants. « Mais j’espère que cela ne se fera pas au détriment de nos libertés. Ma famille en Tunisie s’inquiète déjà des changements. »
Alors que la nuit tombe sur Bruxelles, Sophie Durand quitte son bureau, l’esprit préoccupé. « Entre enjeux géopolitiques et préoccupations humanitaires, l’avenir des relations euro-tunisiennes semble plus incertain que jamais », murmure-t-elle. « Mais une chose est sûre : demain sera une autre journée chargée, et nous devrons trouver un équilibre entre nos valeurs et nos intérêts stratégiques. »

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