Politique
Présidentielle En Tunisie: 9,7 Millions D’électeurs Appelés À Changer Le Paysage

Les bureaux de vote ont ouvert leurs portes ce dimanche 6 octobre 2024 à travers toute la Tunisie, permettant à 9,7 millions d’électeurs inscrits de choisir leur nouveau président. Le scrutin se poursuivra jusqu’à 18 heures.
Les électeurs, dont la répartition est quasi paritaire entre hommes et femmes, sont attendus dans 5331 centres de vote comprenant plus de 10 000 bureaux. Si la majorité des électeurs réside en Tunisie, 642 810 électeurs (soit 6,6%) sont établis à l’étranger, où le vote a débuté dès le vendredi 4 octobre.

Cette élection présidentielle, pour un mandat de cinq ans, met en lice trois candidats : Ayachi Zammel (actuellement en détention pour des affaires judiciaires), Zouheir Maghzaoui, et le président sortant Kaïs Saïed.
L’Instance Supérieure Indépendante pour les Élections (ISIE) annoncera les résultats préliminaires le mercredi 9 octobre 2024.

À noter que les Tunisiens résidant à l’étranger peuvent voter dans 318 centres répartis dans les différents pays abritant la diaspora tunisienne.
Les observateurs locaux et internationaux suivront de près ce scrutin crucial pour l’avenir démocratique du pays.

-
La Une2 mois ago
Marzouki : ‘En Tunisie, gauche et droite ont échoué, seul le peuple citoyen déclenchera la prochaine révolution
-
La Une2 mois ago
Défendre les réfugiés en Tunisie : le prix fort payé par Mustapha Djemali, 81 ans
-
La Une5 jours ago
Les véritables raisons de l’échec de la justice transitionnelle selon Sihem Ben Sedrine (part 1)
-
La Une1 jour ago
Interview avec SBS: Alliance maudite, justice bafouée : le témoignage carcéral qui accuse Ennahdha et l’État profond [ Part 2]
-
La Une2 semaines ago
Trump et Macron : l’affrontement qui cache une convergence secrète sur l’Iran
-
ENTERTAINMENT2 semaines ago
Le crime de Netanyahou contre le monde !
-
BUSINESS2 semaines ago
Trump face à l’escalade Israël-Iran : entre soutien inconditionnel et prudence stratégique
-
ENTERTAINMENT2 semaines ago
Les Tunisiens de l’étranger : des citoyens oubliés ?